Eolyan ◭ Qui s'endort avec le cul qui gratte, se réveille avec le doigt qui pue

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Eolyan Irwin

❝ Chaque détail prend de la valeur quand plus rien n’a de sens. ❞

entretien avec thémis

Ϟ DATE ET LIEU DE NAISSANCE 23 juillet à Seattle Ϟ ÂGE 20 ans Ϟ ENFANT DE Dionysos Ϟ POUVOIRS Illusions & Présence Joyeuse Ϟ RESPONSABILITÉS simple pensionnaire Ϟ TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX Illogique, irraisonnée, docile, naïve, enfantine, curieuse, irresponsable, impatiente. Ϟ DÉFAUT MORTEL La naïveté. On peut lui faire croire tout ce qu'on veut, elle goberait n'importe quoi. Elle n'en a pas conscience. Ϟ ANCIENNETÉ A LA COLONIE 8 ans Ϟ ALIGNEMENT Neutre.

la plume de vérité

QUE PENSES-TU DES DIEUX ET DE TON PARENT DIVIN ? J'ai appris leurs existences le jour où on m'a kidnappé pour m'emmener ici. Je n'ai pas été kidnappé ? Ha bon. D'accord. Puis comment se faire une idée sur des fantômes ? Ha ce n'est pas des fantômes ? Pourquoi on les voit jamais alors ? Ha ils sont occupés ... Ils font quoi ? Si j'ai écouté ! Comment oublié ce jour où un cheval sur deux pattes m'a enlevé et ce DVD ennuyant ...
Mon papa est alcoolo, mais on m'a répété que je ne devais jamais le crier trop fort. Il a des oreilles partout mon papa. Et il peut se vexer. Il est gentil avec moi, il m'a déjà donné des cadeaux ou des bénédictions, je ne sais plus comment on appelle ça. COMMENT TROUVES-TU LA COLONIE ? C'est très joli. J'y suis en vacances depuis 8 ans. Si c'est des vacances ! QUELLE EST TON ATTITUDE FACE AUX MONSTRES ? uc QUE PENSES-TU DES ÉVÉNEMENTS ACTUELS ? développez ici ce que votre personnage pense des événements actuels : tout d'abord la disparition de la directrice Harmonie de Thèbes, puis référez vous aux intrigues passées et en cours pour donner votre opinion (voir ici) COMMENT VOIS-TU L'AVENIR ? Toujours dans la colonie. Je veux rester en vacances ici. C'est très joli ici ... LES GOÛTS ET LES COULEURS NE SE DISCUTENT PAS uc.

la porte des enfers

Ϟ PSEUDO Kiri Ϟ ÂGE 19 ans Ϟ SEXE Vous voulez voir ? What a Face

Ϟ OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Bazzart Ϟ UN COMMENTAIRE ? Dommage que la barre de navigation soit décalée. Et le lien sur la PA pour le bottin des avatars ne fonctionne pas Wink

Ϟ AVATAR Elsa Hosk Ϟ CRÉDITS bannière par tumblr

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Elle est où la poulette ?

Seattle. Une rue. Des nuages gris. Des gouttes de pluie. Elles tombent. Viennent s'éclater sur le béton. Tapoter mon crâne d'enfant. Glisser sur mes joues pales. Ma paume se colle à ma frimousse de porcelaine. Elle est froide. Humide. Triste. Pourtant, maman m'a promis le bonheur. Celui qui réchauffe le cœur. Peut-être que le bonheur ne touche que cet organe qui palpite. Peut être que le reste du corps continue de geler. Peut-être que finalement, maman n'a pas tenue sa promesse. Mes opales fixent le trottoir. J'attends. Comme s'il allait se mettre à parler. Ou à s'animer et à m'emmener jusque devant chez moi. On m'a dit que les objets pouvait se réveiller. Qu'il fallait juste se montrer patient. Alors j'attends. Encore. Mais je n'aime pas ça. J'attends. Encore. J'attends. Je continues. Encore. Tant pis. Mes pieds s'en vont. Vers le bâtiment où je réside. Avec ma génitrice. C'est comme ça depuis toujours. Elle, moi, un petit appartement et des meubles en bois. Depuis douze ans. Depuis que je suis née. Ça a toujours été nous. Un petit appartement et des meubles en bois. J'arrive enfin devant l'immeuble. Celui aux façades grisâtres. Comme tous ceux du quartier. Ma voute plantaire épouse les marches. Toutes les marches. Elle s'écrase contre la paroi dure. Pendant six étages. Elle s'abîme. Mais elle ne souffre pas. Les chaussures bon marchés ne la protège pas. Mais elle ne souffre pas. Les poumons cassés. La respiration cassée. L'étage de mon appartement. Un monsieur. Ou un cheval. Sur deux pattes. Il n'est pas très beau. Un sourire. Sincère. Il se dessine sur mon visage. Cet animal n'est pas très beau. Mais son air de peluche, un peu raté, a quelque chose de compatissant. J'ouvre mes bras. Les enroulent autour de son cou. « Ce n'est pas grave tu sais. » Ses mains. Ses doigts velus. Ils attrapent mes épaules. M'écarte. « Tu dois venir avec moi. » Un sourire. Le mien. Encore. « Tu veux que je t'emmènes à l'hôpital pour qu'on t'enlèves tes jambes de chèvre ? » Ses sourcils se froncent. Mais ses lèvres se fendent. Dévoilent ses dents jaunies. « Il va falloir me faire confiance. Le temps presse, c'est dangereux pour toi de rester par ici. Pour ta mère aussi. Viens avec moi. » « Maman m'a dit que les inconnus … » Sa main agrippe mon poignet. Il me tire. Faible. Impuissante. Je me laisse entrainer. On dévale les escaliers. « Faut pas trainer ! » On dévale les escaliers. Plus vite. Encore plus vite. On sort. La rue s'offre à nous. L'averse aussi. On court. Nos pieds claquent dans les flaques d'eau. Je veux m'arrêter. Mais le monsieur bizarre ne semble pas vouloir stopper notre course. On s'éloigne de mon immeuble. Maman doit m'attendre. Doit s'impatienter. Doit préparer son traditionnel discours. Celui rythmé par la colère et le soulagement à peine apaisé. Celui prévue spécialement lorsque je ne rentre pas directement après l'école. On se dirige vers le centre-ville. Il hèle un taxi. On grimpe dedans. Il hurle au chauffeur de se dépêcher. De nous emmener à l'aéroport. Je comprend. Il est en train de me kidnapper. Je ne m'attache pas. Les ceintures peuvent tuer. C'est quelqu'un qui me l'a dit. Elle te serre, t'étouffe, coupe ta circulation et tu meurs. Je ne m'attache pas. Mes genoux se posent sur la banquette. Ma tête se colle au plus près de la vitre arrière. « Hé monsieur le voleur d'enfants ? » « Qu'est ce qu'elle a dit ? » « Rien, c'est un jeu entre nous. Regardez plutôt la route. » « Monsieur le bouc ? Regardez ! Il y'a un géant qui fait la course avec nous. Il a trois têtes, vous avez vu ? » « Accélérez ! » « Qu'est ce que vous faites ? » Mon visage pivote. Mon ravisseur est penché sur le conducteur. Il s'assoit sur lui. Le pousse. Prend le volant. La voiture file. Le chauffeur râle. Le menace. Tente de reprendre sa place. Le géant s'éloigne. Je ris. J'applaudis. En redemande.

Je suis un gros poulet.

Horum adventum praedocti speculationibus fidis rectores militum tessera data sollemni armatos omnes celeri eduxere procursu et agiliter praeterito Calycadni fluminis ponte, cuius undarum magnitudo murorum adluit turres, in speciem locavere pugnandi. neque tamen exiluit quisquam nec permissus est congredi. formidabatur enim flagrans vesania manus et superior numero et ruitura sine respectu salutis in ferrum. Horum adventum praedocti speculationibus fidis rectores militum tessera data sollemni armatos omnes celeri eduxere procursu et agiliter praeterito Calycadni fluminis ponte, cuius undarum magnitudo murorum adluit turres, in speciem locavere pugnandi. neque tamen exiluit quisquam nec permissus est congredi. formidabatur enim flagrans vesania manus et superior numero et ruitura sine respectu salutis in ferrum. Horum adventum praedocti speculationibus fidis rectores militum tessera data sollemni armatos omnes celeri eduxere procursu et agiliter praeterito Calycadni fluminis ponte, cuius undarum magnitudo murorum adluit turres, in speciem locavere pugnandi. neque tamen exiluit quisquam nec permissus est congredi. formidabatur enim flagrans vesania manus et superior numero et ruitura sine respectu salutis in ferrum.

Ah, la fameuse tarée (a). Bienvenue par ici, et merci d'avoir signalé pour le lien sur la PA, je vais rectifier ça de suite :). Je te réserve donc Elsa Hosk pour une semaine, bonne chance pour ta fiche puppy